Lorsque le désir est plus fort que tout...ou lorsque deux corps se rencontrent et ne peuvent s'empêcher de faire l'amour sous le soleil...
Extrait :
Je me remémorai notre première fois sur cette plage de garçons. Fred était nu sur un linge, étendu sur le ventre. Son œil brilla lorsque j’apparus sur le sable. Le chemin qui m’y amena était bordé de coquelicots crachant leurs falbalas froissés. Un léger vent les emporta le temps que je les observe se disperser et mourir dans des hautes herbes de Pampa.
Le soleil ornait d’un safran uniforme son corps d’éphèbe. Là, au milieu de ces cuirs d’athlètes, luisants, de ces apollons aux couilles rasées, de ces satyres à l’haleine fraîche et à la mèche gélifiée, émergeait mon amour, s’étant paré pour l’occasion du plus bel effet.
Après avoir posé ma serviette à côté de la sienne, je l’espionnai sans qu’il ne bronche une oreille ; pourtant, il me sentait et ne disait rien. Juste un petit bougonnement m’invitant à lui tenir compagnie. Ses abdos dessinés à la perfection étaient une invitation à le caresser. Son cul aussi rond qu’un ballon, un appel au viol. Je ne pouvais voir son paquet, sans doute écrasé sous son poids, étranglant l’érection que je pressentais. Lorsqu’il se retourna en me saluant, son jouet m’explosa en pleine figure comme le plus beau des cadeaux. Il s’assit et attrapa ses deux genoux pour les plaquer contre son torse. Je restai couché sur le dos, tous mes sens en éveil. Je pouvais admirer ce tuba au calibre impressionnant et ces couilles, pendant telles deux mangues. Je lui souris en voyant son enthousiasme et son sexe heureux tandis que je calmais le mien.
Je l’incitai à venir se baigner avec moi pour modérer mes ardeurs. Mais nos joutes aquatiques nous faisant nous enlacer et nous bousculer ne firent qu’augmenter cette excitation que nous ne pouvions réprimer.
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